POURQUOI TANT DE N

À l’appel des sirènes

Sur tréfonds de N

Cette vielle rengaine

Vil R de haine

L’obscur qui se déchaîne

Et qui nous malmène

Autant de promesses vaines

Commuée en viles peines.

Ton prochain, comme toi-même

Tu aimeras, telle une aubaine.