LA GRANDE BLEUE
La grande bleue. À perte de vue, jusqu’où disparait l’horizon, à l’arrière des brumes. Partir, au loin, porté par la houle vers une destination encore inconnue, à la dérive des flots évanescents.
Sur le bord du rivage, la fluctuation du ressac invite à la rêverie, promeneur solitaire goutant les plaisirs simples de la vie.
Dans la tenture des cieux, le bleu illumine le décor. Pas un seul nuage en vue, juste la brise éphémère qui frise l’écume des flots.