LA VÉNUS ENCORDÉE

La Vénus encordée

Ne cesse de peupler

Nos territoires nocturnes,

Non point de sombres cauchemars,

Mais d’impalpables rêves éthérés,

Bercés par l’état de grâce

De son intemporelle Beauté.

Drapant la symphonie

De l’écume de nos nuits

La belle Aphrodite des Cyclades

Ne saurait nous laisser de marbre.