Georges Perros

Il faut se cacher pour écrire. Parce qu’écrire nous met à poil. À nu. Écrire n’est pas “présentable”.

Écrire, c’est accepter d’être un homme, de le faire, de se le faire savoir, aux frontières de l’absurde et du précaire de notre condition. Ce n’est pas croire, c’est être certain d’une chose indicible, qui fait corps avec notre fragilité essentielle.