CEUX QUI SE TRAMENT
Héros lucides, désespérés,
Ils s’en sont allés voir le monde
Corps et âmes désenchantés
Farfouillant à travers l’immonde.
Sans sortir de ses ornières
Le langage ne sert plus à rien
Les grandes désillusions restent éphémères
Et les poètes ne riment pas pour rien.