EN PARTANCE
A ceux qui partent seuls au lointain
Sous un ciel de larmes et de lumière
Là bas vers cette destination inconnue
Dans le sillage luminescent des étoiles filantes.
A ceux qui restent ici bas anéantis
Avec les affres cruelles de l’inexorable absence
Et la morsure des lendemains qui déchantent,
Orphelins à jamais, ballotés au gré des courants de la Vie.